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 Histoire de FAC (point de vue de Jeje)

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Mrjeje
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MessageSujet: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyJeu 1 Nov - 19:00

Mon nom? Jace. Pour certains général, pour d'autre même... cauchemar. Comment ça a commencé? Oh eh bien assis-toi, c'est une très longue histoire. Tu veux sauter par dessu cette question? J'vais te l'dire pareil!

Commencer. C'est dur de savoir comment ça a commencé. Je vais raconter mon histoire. Tout a commencé... commencé? Ça n'a jamais vraiment commencé, c'était toujours en cours. Fatum, nous étions destinés. Je peux dire que chez moi, lorsque j'avai environ 16 ans, je ne me marrais plus dans ma ville de riche et je partis pour des aventures. J'en ai rencontré du monde, mais seulement cinq personnes m'ont suivi. J'ai découvert plein de choses comme... peu importe, commençons cette histoire.

Chapitre 1
--------------------------------------------------------------
La vie à Tréaure

À Tréaure, tout allait bien. On avait tout: une université, une bibliothèque, une salle de théatre. C'était une ville extrêmement riche. Tout les habitants avaient au moins un milliard dans leurs coffres. Tréaure avait tout les droits d'exploitation sur les mines d'or sur des lieues et de lieues à la ronde. C'est justement comme ça que je suis arrivé ici. Je vivais dans une région plus éloignée, ou plutôt mes parents vivaient là-bas. Mon père, peu avant ma naissance, avait découvert un immense filon d'or sous son terrain. Assez intelligent, il vendit l'or qu'il pouvait exploiter lui-même, ce qui fit enfler son coffre de plusieurs centaines de millions puis il vendit le terrain à Tréaure pour que la ville puisse exploiter ce qui était plus profond dans la terre pour finir son milliard. Il s'y installa avec nous et j'ai cette vie depuis toujours. En fait, c'est toute la famille proche qui en avait profité! Nous vivions dans un immense manoir séparé en plusieurs parties dans lesquelles s'établissaient les différentes parties de notre famille, tout de même peu nombreuse. Il y avait la mienne puis celle de mon cousin. Il y avait aussi la section réservée à mes cousines, des jumelles, mais elles n'étaient jamais avec nous, toujours en train de s'occuper de d'autres personnes proche de notre ancien lieu de résidence. Il y avait aussi des domestiques, des elfes, êtres pacifiques ayant été dominés par les hommes et soumis à l'esclavage. Les nôtres s'appelaient Varalad et Belamir. Je me tenais toujours avec ***** qui était le domestique de moi et de mes parents. Il me racontait parfois la chute des elfes à cet endroit. Je suis certain que pourtant, ils sont restés encore maîtres de chez-eux dans les régions éloignées. Toujours est-il que entre mon cousin et moi, les vêtements que l'on portait étaient très différents. Moi j'avais vraiment les vêtements de style gosse de riche, avec les fils dorés, les vêtements blanc et noir, et tout le tralala. En fait, c'est ma mère qui m'avais cousu mes vêtements puisque contrairement à la plupart des gens ici, j'avais plus de muscles et donc les coupes que l'on retrouvait sur le marché me donnaient un air stupide surtout alors qu'avec mes yeux vairons, on ne pouvait me trouver une accordance avec mes yeux, ce qui a mis en dépression passagère les meilleurs couturiers de Tréaure, qui ne juraient que par le style coupé et symétrique. Si le style vestimentaire de mon cousin et moi avaient une ressemblance, c'est qu'ils dégoutaient ces couturiers réputés. Moi, J'avais le coté droit d'une couleur et le coté gauche de l'opposé de cette couleur. Tant qu'à mon cousin, il portait des vêtements de style elfique en plus d'un bonnet assez étrange. En fait, il avait toutes les caractéristiques physiques d'un elfe, sauf les oreilles pointues. Il n'en était pas moins un humain tandis que moi, si j'étais un peu étrange, je n'étais pas humain du tout. Pourtant, je ne le savais pas encore. J'étudiais le jour à l'université sur les sciences et la technologie. Je passais aussi du temps à la bibliothèque. Côté savoir, ici, à Tréaure, on apprenait les deux langues principales de notre univers, le Fantrasique et l'Aglasique. Je parle donc ces deux langues comme mon cousin, même si j'ai une plus grande facilité dans les langues. Bien sur, ma langue maternelle comme lui est l'Aglasique. Cette langue est utilisée par les elfes et les humains. C'est aussi la langue maternelle de tout ceux qui me suivront dans cette aventure. Un jour à la bibliothèque, un type me demanda ce que je lisais. Bien sur, comme d'habitude, je lisais des livres de récits d'aventure. Je m'imaginais dedans. Il me demanda si j'aimais le passage que je lisais. Je remarqua alors que ce passage était sur les hybrides, une race très aventurière qui n'était pas touchée par la vieillesse. Je regarda alors le dessin de l'auteur sur la quatrième de couverture. Je trouvais qu'il ressemblait à l'homme mais en un peu plus jeune. Je remarqua alors ses oreilles pointues. Les elfes pouvaient vivre des siècles. Il me dit alors que malgré mon handicap visuel, il percevait dans mes yeux ce qu'il n'avait pas perçu dans les yeux de qui que ce soit il y a des siècles. Ce soir-là, je décida de partir, avec ou sans l'appui de mes parents. Quelque chose me pointait du doigt et je ne pouvais l'éviter.  

******************************************************************************************************

Le lendemain, nous avions congé d'université. J'en profita pour me rendre à la bibliothèque. Je revis le vieillard qui m'avait parlé la veille. Je décida d'Aller lui parler pour mieux comprendre son message de la veille et pour en savoir plus sur lui.

-Bonjour, il me semble que c'est vous qui m'avez parlé la veille non?

-En effet, c'était la première fois que je voyais un jeune qui s'intéresse à mes ouvrages.

Je savais ça, c'est pas difficile de se rendre compte que tous les jeunes ici passent leur temps le nezz dans les livres d'économie pour trouver une façon de continuer de faire fortune. Moi, je n'ai que très rarement lu ce genre de livres. Je lisais des ouvrages sur la science et la technologie ou des récits d'aventure. Cet homme était justement l'auteur de plusieurs d'entre eux. Le fameux Clobus Érémisse. Du moins, je l'appelais comme ça. La plupart des personnes l'appelaient Clobus le Clochard. Pourtant, l'homme qui se tenait devant moi n'avait rien d'un clochard. Je continua la conversation.

-Vous êtes bien Clobus Érémisse?

-Oui, c'est bien moi!

-Comment ce fait-il que vous ayez de tels vêtements, vous n'êtes pas supposé être, euh, un clochard? Et comment êtes-vous arrivés ici, que faites-vous ici?

-Mais non. Vois-tu mon petit, il faut que tu regardes plus loin que Tréaure et les mines d'or. Ailleurs, tout ces gens qui mangent ce qu'ils font pousser, ils ont besoin d'un type qui a des aventures extraordinaires. Ils n'ont pas beaucoup d'argent, mais ils m'ont offert plusieurs cadeaux comme des étoffes ou de la nourriture pour mes récits. Ensuite, j'ai pu m'installer ici parce que l'ancien bibliothécaire était trop vieux. J'ai lu tout ces livres, mais je suis déçu qu'il y ait si peu de livres qui font dévelloper l'imagination. Vois-tu, cette ville se pense riche grâce à son or, mais je n'ai jamais vu une ville si pauvre.

Ses propos étaient intéressants, et je m'apprêtais à dire la question qui tue:

-Mais, vous êtes un elfe?

-Chut! Ne dit pas de telles choses mon enfant. Ai-je l'air d'un de ces esclaves?

Je tassa ses cheveux en m'assurant que seul moi pouvait voir ses oreilles pointues. Je lui répondit alors:

-Oui, et je n'ai jamais rencontré un homme qui avait plus d'une centaine d'années. Ne vous inquétez pas, je ne le dirai à personne. Par exemple j'aimerais en savoir plus sur ces hybrides.

-Eh bien, je ne vois pas ce que mon livre ne dévoilais pas sur eux. J'ai tout écrit, même leur chute sous la colère des dieux, qui refusaient de voir un peuple qui allait devenir aussi sinon plus puissant qu'eux naître. Ils les ont complêtement anihilés.

-De qui tenez-vous cette information?

Je sentais que j'avais touché le point sensible, il commença à trembler légèrement.

-Écoute mon petit, peu importe mes sources, je te jure sur Saint-Hubrus qu'elles sont fiables! Maintenant laisse-moi tranquille veux-tu, je crois voir quelqu'un qui veut me poser une question.

Aparemment la viellesse faisait sortir les réponses de sa bouche sans le vouloir. Je continua:

-Saint-Hubrus? Mais ce n'est le Dieu ni des elfes ni des hommes! De plus, je ne crois pas que vous vous êtes encore habitué au poste! On vien demander une questions soi-même ici, on ne fait pas signe.

-D'accord! Je vais te le dire. En fait, j'ai trouvé les décombres d'Ébreuhme, la ville des hybrides. Personne de la période  des hybrides ne vit encore aujourd'hui, ni humain ni elfe. J'avais rencontré quelqu'un qui étudiait les décombres de la ville déchue depuis des décennies et qui en avait tirées ces conclusions d'après les écrits qui avaient été trouvés dedans.

-Mais encore?

-Mais encore... Eh puis je vais te dire ce que je n'écrit pas dans mes livres pour raison d'une source incertaine. Personnellement, je crois que les hybrides renaissent. Hier, lorsque je t'ai dit que je voyait dans tes yeux ce que je n'ai jamais vu dans les yeux de personne, c'est que je voyais la même conviction que cet homme qui avait étudié les ruines d'Ébreuhme. Je pense que sans le savoir, il était un hybride. Dommage qu'on ne puisse pas faire des études biologiques ou psychologiques sur cette race.

-Donc, vous croyez que je suis un hybride?

-Peut-être, ce n'est que mon opinion. C'est peut-être complètement faux, je suis peut-être devenu un vieil elfe complètement gaga.

Son récit avait un hic un seul. Je lui dit assez clairement, et assez haut.

-MAIS QU'Y A-T-IL DE SI MAL À CE QUE LES HYB...

-TAIS-TOI MALHEUREUX!

Le vieillard m'avait mis la sa main devant la bouche, et tout le monde nous a regardé durant une ou deux secondes, avant de remettre le nez dans leurs ouvrages. Il repris plus bas

-Les hybrides sont maudits des Dieux! Voudrais-tu qu'une purgation complète nous frappe! Peu nombreux seront les survivants, pour une légende, imagine! Mainenant vas! Je n'ai plus rien à te dire.

J'en savais bien assez. Je me retourna pour, à mon habitude, placer le dernier mot.

-N'empêche, je vais vous acheter ce bouquin.» dis-je, en brandissant le livre dans lequel il y avait les informations sur les hybrides.

-Va, je te le donne.

-Alors je vais te payer pour tes informations.

Et sur ce, je mit cinq pièces d'or sur la table devant lui, ce qui était beaucoup pour un fermier, alors que tout les enfants de Tréaure se promènent avec au moins vingt pièces d'or dans ses poches. Je me rendis compte que je l'avais tutoyé sur ma dernière réplique et qu'il ne l'avait pas pris mal. L'Odissée de notre monde et de ses environs par Clobus Érémisse. Voilà qui allait faire de la bonne lecture avant mon départ.


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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyVen 2 Nov - 12:13

Chapitre 2
----------------------------
Les préparatifs

Les infos que je ramassa étaient très intéressantes. On dit que les hybrides descendent tous d'Hubrus, le premier hybride qui était de lignée divine. C'est aussi l'être qu'il vénèrent, Saint Hubrus. C'est donc de ce Dieu sur lequel Clobus avait juré. Les elfes n'aimaient pas cette race. C'est assez évident puisque contrairement à eux, les hybrides cherchaient constamment la bataille. Aussi, j'ai appris que certains grands aventuriers dont j'ai lu les aventures étaient des hybrides sans le savoir. J'avoue que j'ai lu des ouvrages assez vieux, même qu'une fois j'ai réussi à obtenir un document ancestral, l'histoire de Tréaure. C'était de loin le meilleur récit que j'avais lu. Je crois qu'il était gardé pour cacher le fait que la véritable richesse n'est pas matérielle. Autre chose intéressante, un hybride pouvait entrer en «rage», une transe qui décuplait, centuplait les capacités des hybrides peut importe ce qu'ils faisaient. La rage guerrière était de loin la plus imposante, un hybride en rage guerrière devenait presque divin, invincible, puissant comme cent hommes. Aussi, même si je ne sait pas d'ou on a pu tirer ces informations, peut-être des annonces de naissance, les hybrides avaient tous une caractéristique asymétrique assez évidente, ce qui n'excluait pas que les hommes pouvaient avoir ce type de caractéristique, ce qui, selon l'auteur, les rendait encore plus apparents aux hommes puisqu'un hybride pouvait avoir un sosie humain. La principale caractéristique des hybrides c'est qu'ils peuvent avoir des ailes d'anges ou des cornes de démon. Rien n'était spécifié sur ce sujet, mais on savait aussi que les mages hybrides s'affairaient à contrôler l'espace, ce qui était une des magies les plus puissantes de l'univers. Finalement, la journée passait, et je n'avais toujours pas levé le petit doigt pour mon départ. C'est alors que mon cousin entra. Je lui sauta dessu en répétant une des formules de l'espace que je venais de lire:

-Lêrisavi!

-AAAAAAAAAAAAAAAH!

C'était une formule qui permettait de faire léviter celui sur lequel on jetais le sort, Simon s'était bien soulevé de quelques centimètres, c'était plus parce que je lui avait fait peur que parce que la magie c'était opérée. Il reprit:

-Mais qu'es-ce qui te prend! Tu m'as fait échapper tous mes papiers!

En effet, il y avait des papier partout par terre. Je l'aida à les ramasser. C'étaient des informations sur l'emplacement de villages d'elfes libres. Lorsque je lui demanda pourquoi il avait ces informations. Il me dit que puisque je partais, il a décidé de partir lui aussi avec Varalad. Ils allaient essayer de trouver un village elfique libre pour y vivre. Je lui répondit:

-Mais pourquoi veux-tu partir d'ici? Tu n'as pas une assez belle vie dans cette ville? Tu n'as aucune raison de partir. Il y a l'université, tu peux continuer tes cours.

-Parce que toi, tu as une bonne raison de partir?

-Mais si je...

-De plus, à l'université, ils me mettrons dehors en moins d'une semaine. Tu crois que je ne me suis pas rendu comte que c'est grâce à toi que j'y suis resté? Finalement, tout le monde ici me dévisage comme si j'étais l'un d'eux.» Dit-il en faisant un signe de tête vers le dessin de l'auteur de mon livre.

Là, il m'avait sonné. Tout ce qu'il avait dit était vrai. N'empêche, il a remarqué les oreilles pointues de Clobus sur le dessin du premier alors que j'ai eu à dévisager la vraie personne pendant des minutes pour apercevoir ce détail. Lorsque je disais qu'il avait toutes les caractéristiques d'un elfe sauf les oreilles pointues, c'est qu'il était plus grand et plus mince que la plupart de gens. De plus, il avait des cheveux bruns lustrés, qui était la couleur d'un métal, pour lui le strontium, du moins je crois, et il avait des yeux couleur d'une pierre précieuse, les siens étaient verts et assez luisants comme des émeraudes. Je vis justement un échantillion de strontium et une émeraude dans sa poche. Lorsqu'il vit que je regardais ces deux derniers, il dit:

-Pour entrer dans un village elfe, il faut que tu prouves que tu est un elfe par la couleur de tes yeux et de tes cheveux ou par tes oreilles pointues. J'y ai passé tout mon argent de poche.

-Justement,» répondi-je «Il faut savoir ce qu'on va faire pour gagner de l'argent ailleur.»

-Parle pour toi! Chez les elfes mangent ce qu'ils cultivent!

-Ça va pas être facile, tu n'as jamais vraiment été bon dans la chose.

-Tout s'apprend cousin!

Maintenant c'était à mon tour. Après mûre réflexion, je choisis de devenir mercenaire. Lorsque je l'anonça à mon cousin, il me répondit:

-Tu veux vraiment tuer des gens pour de l'argent? Tu es devenu fou ou quoi? Penses-y, mais si tu persistes dans l'idée, va au moins t'acheter de quoi tuer, je ne crois pas que ce livre sois assez ennuyeux ou assez lord pour tuer qui que ce soit. À moins que tu lui fasse plusieurs coupures avec les pages et qu'il finisse par...

-D'accord d'accord! Connais-tu un type qui pourrais me refiler une arme? Suis-je bête, les forgerons.

-Oui tu es bête allez!

Je partis chercher une épée chez un forgeron parmis les centaines qu'il y avait ici. Simon aimait beaucoup se foutre de moi parfois. Pourtant, j'ai aimé qu'il dise que le livre n'était pas ennuyeux. Le forgeron le plus prestigieux de la ville ne voulait pas forger d'arme. Ensuite, je passa dans plusieurs autres boutiques qui me demandaient une trop grosse «prime d'armement», une taxe imposée pour ceux qui voulaient avoir une arme. Finalement, un type s'approcha de moi et me demanda si je voulais une arme après une autre visite infructueuse. Je lui répondit que oui, et il offra ses services de forgerons. Il dit qu'il pouvais me fabriquer une épée selon le modèle de guerriers puissants qui avaient vécu il y a fort longtemps. J'accepta puis je négicia une somme que je pouvais payer pour l'arme et il ne me mis même pas de prime d'armement puisque je partais ailleurs. Je lui demanda pourquoi il n'avait pas de magasin comme les eutres forgerons. Il me répondit que c'était parce qu'il ne prenait plaisir qu'a fabriquer des épées, et que les épées qu'il fabraicaient étaient en un sens maudites. J'ai crompris le sens du mot maudit il y a peu, et je m'en foutais. Il me dit que l'épée serait prête le lendemain. Lorsque je lui demanda son nom, il répondit qu'il s'appelait Broris. Je rentra chez moi et allais anoncer la nouvelle à mon cousin lorsque je vis que lui et Varalad étaient en train de fabriquer un arc. Eh bien, on ne pouvais plus rien nier, nous allions partir sous peu.


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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptySam 3 Nov - 18:15

Chapitre 3
------------------------------
Le grand départ

Le lendemain, j'alla voir Broris. Varalad avait fabriqué deux arcs avant ce matin. Je sais que les arcs sont l'arme préférée des elfes, mais Simon était un humain. Peu importe ce qui le poussait à s'auto-métisser de la sorte, c'était lui le bête. Toujours est-il que Broris avait fini, je le paya et il me remit l'épée dans son fourreau. C'est alors que je me demanda pour la première fois pendant trois jours où étaient partis mes parents? J'avais vu la soeur de mon père, mère des jumelles, les parents de Simon mais pas les miens. Je rentra à la maison et posa la question à Varalad, et il me répondit qu'ils étaient partis voir un problème qu'il y avait sur leur ancien terrain. Je décida alors d'écrire un papier qui expliquait les raisons de mon départ. J'espérais au fond de mon âme qu'ils comprendraient. J'avais quand même l'âge adulte, je ne me donnais pas plus la permission de partir sans raison. Je confia le papier à Belamir, puisque Varalad venait avec nous. Je sortis du manoir, me tourna, et dit adieu à ce lieu de résidence pour une période non déterminée. C'était très dur de partir. C'était comme si on m'enlevais une partie de moi-même. J'allais pleurer lorsque je mis la main sur le pommeau de mon épée. J'avais une nouvelle vie, une vie remplie d'aventures. J'allais devenir riche, plus que quiconque. J'avais pour seul bagage mon épée, L'Odyssée de notre monde et de ses environs un autre livre vierge, une plume et un pot d'encre. J'avais aussi une centaine de pièces d'or, de quoi me rhabiller en guerrier si nécessaire. Lorsque je me retourna, je vis que Simon et Varalad étaient déjà loins. Je courra pour les rejoindre. Le trajet jusqu'aux portes de Tréaure était assez bizarre. Simon avait passé son bonnet à Varalad pour qu'il puisse cacher ses oreilles pointues, l'inverse de son utilité habituelle ça me faisais rire, et ça faisais rire beaucoup de monde. On nous dévisageait de plein de façons. Certains avaient un mépris, d'autres avaient l'air de nous souhaiter mentalement bonne chance, et je remarqua même dans les yeux de certains une pointe de jalousie. Lorsque j'arriva à la grande porte, les gardes nous empêchèrent de passer et nous demandèrent notre destination. Je répondit que nous allions là ou le destin nous conduirait. Ils s'esclafèrent puis, une fois s'être calmés, nous dirent ceci:

-Ce n'est pas tout les jours qu'on voit une troupe de jeunes dire ni vouloir ce genre de choses! C'est dangeureux au-delà de cette porte tu sais. Vous avez l'air assez désarmés.

-Oh mais ce n'est qu'une illusion!

Et sur ce, je dégaina mon épée. Elle était belle. Elle était faite dans un métal vert-brun assez léger, avec des citrines incrustées dedans. Le forgeron a du s'inspirer de mes yeux pour faire ce chef-d'oeuvre qui captiva les deux gardes, si bien qu'il ne remarquèrent qu'après un certain moment les arcs et les flèches de Varalad et de Simon. Je continua:

-Excusez-moi messieux, mais nous partons. Et si cette porte ne s'ouvre pas, nous trouverons un autre moyen.

Ils crurent sûrement que nous allions les abattre, alors que je pensais à l'escalade nocturne mais la menace fit son effet, deux minutes plus tard, je posa mon premier pied hors de cette ville. Je commença à courir de toutes mes forces, puis m'arrêta à une centaine me mètres de la porte. Alors j'ouvra mes bras, regarda vers le ciel et inspira à fond puis expira doucement. J'étais parti. Je regarda alors le décor qui s'offrait à moi. Les arbres, l'herbe, la route, l'horizon. C'était magnifique. Alors, Simon et Varalad me rejoignirent. Je dis alors:

-La ville est derrière nous, notre ancienne vie est derrière nous, le destin est devant. Allons mes amis, nous avons un long chemin à faire. Ce soir, je ne veux plus aperçevoir cette porte.

Et alors je commença le long trajet vers ce que je suis aujourd'hui. Le commencement d'une grande aventure. C'est la fin du début pour moi, le début du début pour les autres! Mais bien sur, mon histoire ne s'arrête pas là! En tant que fondateur de l'ordre, l'histoire des autres fait un peu partie de la mienne.


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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyLun 5 Nov - 13:31

Chapitre 4
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Vitria

Bon, Je ne voyais plus la porte de Tréaure, mais j'étais tout seul. Valarad et Simon étaient partis. Après une heure, ils devaient prendre un embranchement différent du mien. Je ne sais pas vraiment où est-ce que je devais aller, mais le tournant qu'ils prirent ne me disait rien. Le soleil se couchait et je n'avais toujours rien vu. Je m'apprêtait à me construire un abri de fortune lorsque je vis un convoi qui passait. Je demanda au cocher où il allait et il me répondit qu'il allait à Vitria, une petite ville pas loin d'ici. Je demanda alors si il pouvait m'embarquer pour une pièce d'or,m et il accepta de me laisser monter sur un des chevaux. Après une heure, alors que le soleil était techniquement couché, nous arrivâmes à Vitria. Habituellement, nous aurions du rester dehors mais Vitria n'avait pratiquement pas de protections. Je m'installa à l'auberge pour la nuit. Avant de me coucher, je consulta quelques documents sur la ville et vit un terrain qui m'intéressait, où je pourrais faire ma maison. Je pris aussi un moment pour lire une partie de l'Odyssée de notre monde et de ses environs sur la religion des hybrides. J'appris que Saint-Hubrus était même avant sa naissance complètement méprisé des Dieux. Il aurait été transféré dans le ventre d'une humaine d'une famille assez démunie. Il serait devenu mercenaire pour pouvoir se payer le minimum puis il se serait engagé dans une armée dont il serait devenu le général après avoir tué à lui seul plus de 100 000 hommes faisant partie de l'armée adverse lors d'une bataille importante en rage guerrière. On commençait à avoir peur de lui, mais un jour sa mère (un ange) serait apparu au prêtre de la ville où il habitait pour l'informer de l'origine de son fils. Puis, Hubrus aurait été vénéré un peu par les hommes jusqu'à ce que les autres Dieux décidèrent qu'il devenait trop populaire. Il fut chassé de sa ville natale avec la femme qu'il aimait. Il aurait par la suite fondé une ville, Ébreum dans laquelle il s'installa et eu plusieurs enfants qui ne savaient pas leur origine puisque leur mère était morte en acouchant et que peu après leur naissance Hubrus devint divin. De plus, ces enfants, qui étaient au moins.. vingt se reproduirent ensemble puisqu'ils n'avaient pas de code génétique, cadeau de leur parenté divine. Tous les hybrides ou eumis, un autre nom pour désigner les hybrides descenderaient tous de ceux-ci avant d'être tous exterminés par les Dieux. Quelle triste histoire. N'empêche qu'ils sont poussé un peu loin avec les vingt enfants. Alors je passa ma première nuit à Vitria.

****************************************************************************************

Le lendemain, il y avait un plateau repas sur ma table de nuit. Cette ville n'avait vraiment pas l'usage de voir tant d'argent. J'avais donné cinq pièces d'or à l'aubergiste, ce qui était très peu pour moi, et il m'a quasiment vénéré. J'avala mon déjeuner qui n'était pas mauvais, et descendit pour remercier l'aubergiste. En quittant, je vis alors que la somme pour un déjeuner était de cinquante pièces d'argent. Je devais m'habituer à la pauvreté à l'extérieur de Tréaure ou j'allais finir par dilapider mes réserves en deux secondes. J'alla à la mairie pour prendre posession du terrain, et on me le donna pour sept pièces d'or. Je décida alors de me mettre au travail et dépensa deux autre pieces d'or pour une scie et une hache ainsi qu'un sac pour les ranger. Je m'informa où es-ce que je pouvais couper des arbres et je me mis au travail. Je coupa trois arbres avant de me rendre compte que je ne pouvais pas finir ma maison en une journée! Je retourna voir l'aubergiste pour me loger. Lorsqu'il demanda plus d'argent je répondit:

-Je me suis renseigné sur la monnaie locale, et il me semble que d'après mes calculs, j'ai assez payé pour me loger ici durant au moins cinq jours. Est-ce exact?

-Mais jeune homme pas du tout! Ce n'est pas aussi abordable que te crois, je connais mes tarifs mieux que perso...

-J'aimerais rester pour la nuit, quarante pièces d'argent comme d'habitude? Ma femme m'a jeté dehors parce que je suis revenu saoul à la maison.» dit un type qui me tassa pour parler.

Malgré les manières assez impolies de cet homme qui empestait l'alcool, mon argument était soutenu. Je tassa le soulon et continua la converstation:

-Bon, je vois que j'avais bel et bien raison. Si vous ne voulez pas de problèmes, vous devriez me laisser coucher ici puisqu'il y a un règlement dans votre ville qui stipule qu'aucun commerce ne peut donner des tarifs plus élevés à des étrangers.

Je rajouta plus bas avec un sourire narquois:

-C'est bon pour le commerce!

Je releva la tête et déclara:

-Bon, et bien je crois que me vais m'installer à l'endroit où j'étais hier. Merci pour tout.

-Mais monsieur,» reprit l'aubergiste «Il y a déjà quequ'un qui a réservé pour cette place. De plus, il n'y a pas d'autre places disponibles ici.»

-Quand a-t-il réservé?

-Ce matin, après votre départ.

-Vous voyez bien donc que je suis prioritaire. Veuillez rappeler ce monsieur, ce serait fâcheux pour lui qu'on ne lui fasse part de cette information qu'à la dernière minute.

Tout le monde me regardais d'un air inférieur, et on se demandait d'où est-ce que je venais pour avoir un tel language et une telle personnalité. Je répondis alors en partant:

-C'est gentil de me vouvoyer, vous savez bien comment reconnaître un ancien habitant de Tréaure.

Et sur ce, je quitta l'auberge et j'entedais tout le monde qui se parlait. J'avais fait un assez grand effet, et j'en était content.

**************************************************************************************

Cinq jours plus tard, mon entente avec l'aubergiste cessa, et je m'installa dans ma maison que j'avais légèrement meublée. Je ne voulais pas trop dépenser d'argent parce que j'étais certain que ce n'était pas la ville dans laquelle j'allais m'installer définitivement. Personne ne voulais tuer personne, et si ça ne faisais pas mon bonheur, je trouvais ça tout à fait normal. J'acheta alors du matériel pour créer quelques petites babioles mécaniques. Je changea mon affiche et me donna le titre d'ingénieur. Un jour, un client arriva et m'acheta une éplucheuse à pomme de terre. Le lendemain, j'avais des tonnes de clients et de demandes pour toutes sortes d'objets. je les vendais trente pièces d'argent chacun. Tout de même, je fit beaucoup de profits en peu de temps. Les affaires allaient très bien, je m'étais même enrichi. Un soir, alors que je fermais ma boutique, un type s'approcha de moi et me dit:

-Il y a une personne que j'aimerais éliminer. Tu pourrais me faire le travail pour, disons, cinq pièces d'or?

Sur ce, il déposa cinq véritables pièces d'or sur mon comptoir. Je les repoussa et répondit:

-Je ne croyais pas que les gens d'ici étaient si peu éduqués. Tu ne sais pas lire?» dis-je en pointant mon affiche. «C'est écrit ingénieur, pas tueur en série. Compris?»

-C'était pourtant écrit il y a une semaine «mercenaire» non?

-Oui mais ça c'est passé, trouve toi un autre type.

Alors, il se jeta sur moi et me pris le cou. Il dit:

-Tu es le seul qui a eu le courage ou la stupidité d'écrire une fois dans ta vie «mercenaire» sur ta foutue affiche. Si tu ne fais pas ce que je te demande, je veillerais personnellement à ce que tu sois rayé de la liste des habitants.

Sur ce, je pris son bras et le retourna. Je pouvais lui casser avec une pression supplémentaire, mais je lui dit simplement avant de relâcher:

-Si c'est la bagarre que tu cherches, sache que j'ai du courage, et que je ne suis pas le fou du village.

Puis je redevin sérieux et dit:

-Comment je peux trouver ce type que tu veux liquider?

-Il est acueilli par une famille qui habite à côté du forgeron sur la route principale, c'est un elfe ayant tué son maitre, et qui n'a toujours pas payé pour son crime. Son nom est Pandalf.


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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyMar 6 Nov - 21:35

Chapitre 5
---------------------
Mon nom est Pandalf Jr.

Je me retrouvais donc avec une tâche que je ne voulais pas du tout accomplir sur le dos. J'étais très anxieux. J'avais négocié une semaine pour faire le travail. J'avais un plan en tête. Ce délai d'une semaine me laissais le temps de vendre ma maison et tout mon stock. Ensuite, j'irai voir ce Pandalf et lui demandera de sortir de la ville. J'en ferai autant, et me retrouverai avec mon premier ennemi sur le dos. Tout cela me donnais des frissons. J'étais parti de Tréaure avec la certitude que j'avais quelque chose de spécial, mais si je me trompais? Si au fond j'étais juste un gosse de riches avec du monde important à dos? C'était la pire chose à envisager. Il fallait espérer. Espérer que ce que j'avais ressenti était un sentiment sur lequel je pouvais me fier. J'entra à la mairie pour savoir si la ville était prête à racheter le terrain. Finalement, on accepta de m'acheter le terrain, la maison et mon stock pour les dix pièces d'or que j'avais précédemment déboursées. C'était plus que j'espérait. Je disposais de la maison jusqu'à la fin de la semaine, moment où elle se devait d'être vacante. C'était parfait. Maintenant, j'avais 110 pièces d'or environ, soit un intéressant profit. J'allais emporter avec moi quelques petites affaires comme ma hache et ma scie. J'allais bien sur ammener mon épée, encore vierge que j'essaierais de ne pas souiller le plus longtemps possible. Je me coucha le soir et, ne pouvant pas dormir, décida de m'adonner tout de suite à ma tâche. J'allais me convaincre que mon plan était stupide, et que je pouvais prendre sur mon épée quelques taches de sang lorsque je me dit que c'était pire de tuer sans scrupule des innocents qui n'auraient même pas de quoi se défendre. Je me leva, quitta ma maison, et me dit que la prochaîne fois, je devrais être plus clair le fait que mercenaire n'équivalait pas à assassin. Je me prépara, rangea mon épée dans son fourreau. Je comptais devoir l'utiliser contre cet homme qui m'avait promis de me tuer si je ne tuais pas. Alors, je me rendis aux indications données. C'était enfin le temps de jouer des muscles. Je regarda à travers les différentes fenêtres de la maison et vit alors un elfe qui dormais, habillé de haillons. Il avait des cheveux d'or, ou plutôt dorés. Je me rapprocha et remarqua avec béatitude que ses cheveux étaient comme de minces fils d'or tellement ces derniers se rapprochaient du splendide métal. J'ouvris la fenêtre lentement, de façon à ce qu'elle ne grince pas. Je remarqua alors ses deux traces noires sous ses yeux. Il avait aussi un insigne dans le front. C'était un bandeau, mais le reste de la bande était cachée par ses cheveux. Ce symbole représentait les quatres anciennes citées elfes. C'était un esclave, où avait-il pu dénicher ça?. Il dut alors sentir quelque chose, un courant d'air sûrement car ses yeux d'un bleu clair comme des aquamarines d'ouvrirent brusquement. Je m'arrêta donc de le contempler et, avant qu'il puisse dire un mot, le pris par les épaules et je tira de toutes mes forces à l'extérieur, il avait un arc rudimentaire attaché sur lui avec quelques minces pieux de bois qui devaient lui servir de flèches. Une fois à terre, il se releva et me dit bien fort:

-Qu'es-ce que tu me veux? Me tuer?

Et sur ce il banda rapidement son arc avec une de ses flèches. Je sortis mon épée prestemment et la pointa vers lui. Je lui répondi:

-Je ne veux pas te tuer, mais je crois que je serais obligé de me battre si jamais tu décides de m'attaquer. Il faut que je te parle, tu es plus en danger que tu ne le crois. S'il vous plaît pour l'amour des Dieux, pose cet arc.

-Pas si ton épée est toujours dans tes mains!

Je remis mon épée dans son foureau et il baissa son arc. Il dit alors:

-Je sais dans quel pétrin je suis. Je ne suis pas inconscient. J'ai tué mon maître car il s'amusait à martyriser ses serviteurs. Malheureusement ce monde est injuste et je suis suivi par plusieurs personnes qui veulent ma peau, comme toi!

-Pandalf,

-Mon nom est Pandalf Jr.! Mais, je dois avouer que Pandalf c'est plus simple.

-Donc, Pandalf, un des gars qui veux ta peau est justement venu me voir l'autre jour. Il voulait que je te tue. Je n'ai pas envie de le faire mais c'est moi qui va mourrir sinon. Abaisse cet arc. J'ai décidé de fair un marché avec toi. Si tu sors de la ville, je te laisse en vie. Sinon, je crois que je vais être obligé de te tuer.

-Jamais tu ne pourras me tuer!

Sur ce, il s'apprêta à me lancer une flèche lorsque son bandeau se mit à briller. Il eu un crispement d'horreur et rangea rapidement son arc. Le brillement cessa. Il parût alors soulagé, et me regarda avec suspiction. Il finit par déclarer:

-D'accord, je pars. Mais toi, que fera-tu?

-C'est justement la beauté de la chose. Demain, je pars aussi.

-Parle pour toi!

Sur ce, il partit. J'en déduit qu'il n'avait pas tant de baggages que ça. Qu'est-ce qu'un esclave pourrait avoir d'autre. Je revint chez moi et m'endormi assez rapidement.

*******************************************************************************************************

Le lendemain, les habitants qui avaient accueilli Pandalf étaient fous d'inquiétude. Je savais que si je disais quoi que ce soit, ma vie ne vaudrait pas grand-chose. Je me rendi alors à l'extérieur de la ville avec mes baggages, soit mon épée, mes outils et mon argent. Lorsque je me rendi dans la forêt à l'extérieur de la ville, je vis qu'il n'y avait personne. Malheureusement pour moi, je ne vis pas l'elfe qui c'était caché et qui avait furtivement bandé son arc. Je distingua alors trop tard une lumière assez puissante dans un coin de la forêt. La socond d'après, je m'enffondrait sur le sol, une flèche dans l'épaule. Je perdais pas mal de sang. Ça faisait très mal. À un moment je ne ressenti plus la douleur et enleva la flèche de mon épaule. Sous mes yeux ébahis, la blessure se referma automatiquement. Alors contrôlé par quelque chose de plus fort que moi, je sorti mon épée. Je la pris d'une main et pris mon hache dans l'autre. Je courrus vers Pandalf, furieux. Il vida son carquois sur moi, mais aucune flèche ne me toucha. Je lança alors ma hache comme si c'était une brindille. Elle alla se ficher dans un tronc en s'enfonçant d'au moins quinze centimètres. Je regarda alors Pandalf qui était complètement terrorisé. Il s'enfuit à toutes jambes mais, comme projeté par une quelquonque force, je me souleva d'un coup et atteris sur lui. Je l'immobilisa et arrêta mon épée sous sa gorge. J'allais donne un bon coup lorsque je repris le contrôle sur mon corps. Je remis alors mon épée sous sa gorge. Il était complêtement sonné, et moi non plus je n'arrivais pas à comprendre ce qui venais de se passer. Je me rendi alors compte que je n'avais plus aucun souci du fait que quelqu'un puisse m'en vouloir à mort. Pandalf me supplia de le libérer, ce que je fis puisque son carquois étant vide, il ne pouvais me blesser. Il était vraiment abasourdi par ce qu'il avait vu. Il n'a pu sortir que ces quelques mots:

-Je... tu... eu...

-Il, nous, vous, ils. Tu as vu un démon ou un ange?

-J'ai... j'ai vu les deux!

-Allons, tu déconnes. Ressaissis-toi!

Il se releva tout seul et je lui adressa la parole.

-Tu m'expliquera plus tard ce que tu as vu de si extraordinaire, pour l'instant marchons. Puisque nous avons un ennemi commun, il me semble que c'est au plus approprié de nous associer. À deux nous sommes plus puissants. On te refera des flèches l'ami. T'inquiète.

-Co... comment?

-Bon arrête de faire l'idiot. Allons. Nous sommes dans la même situation non?

-D'accord. Où allons nous?

-Par là!

-Et pourquoi par là?

-Parce que j'ai l'impression que c'est le bon endroit. Récemment, mes impressions se sont la plupart du temps fondées. Je crois que je serais encore chanceux.

Sur ce, nous marchâmes vers ce là-bas. Qu'avai-je fait de si extraordinaire? Seul Pandalf pouvait me le dire. Qu'y avait-il devant nous? Seul le temps pourrais nous le dire.


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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyMer 7 Nov - 21:34

Chapitre 6
-----------------
La révélation

Nous avions dépassé la forêt et déjà atteint des plaines lorsque Pandalf ce décida à parler. C'était compréhensible, il avait l'air complètement terrifié par ce qu'il avait vu. Pourtant, j'étais déjà perdu dès sa première phrase:

-Tu n'es pas humain. Ce que j'ai vu, ce n'était pas un humain.

Je ne savais pas quoi dire. Bon, j'avais toujours su que j'avais un petit quelque chose de spécial mais de là à être... un Eumi? C'était un fait incroyable pour moi, qui pensait que pour être un Eumi, il fallait être né de parents Eumi. Je m'arrêta et lui répondit alors:

-Regarde moi, je suis un humain. Je ne suis pas un elfe, ni un animal.

-N'empêche que ce que j'ai vu, ce n'était pas un humain. Tu avais des cornes rougeâtres et des ailes blanches immaculées. N'empêche que tu me foutais les jetons. Tu m'as tout de même lancé ta hache avec un force extraordinaire! Et aucune de mes flèches ne te blessaient. Tu te rends compte! Tu as résisté complètement aux flèches d'un elfe! Elles ont rebondi, comme si elles avaient décidé de ne pas te blesser.

Il abaissa mon chandail pour regarder mon épaule, là où il m'avait atteint. Il reprit:

-Et là! Cette première flèche t'a bien transpercée la peau et il n'y a aucune marque! Aucune cicatrice! Même pas un bleu! Rien!

J'étais aussi renversé que lui. Tout ce qui me disait me faisaient correspondre à un Eumi. Je n'avais pas la moindre idée de ce que j'étais. C'était assez étrange. Comme si on était abandonné par le monde tout d'un coup. J'eu alors la brillante idée de sortir mon livre... lorsque je me souvint que je ne l'avait pas compté dans mes choses pour partir. Je vis alors qu'il était avec ma hache et ma scie. C'était assezz étrange qu'il soit là. Toujours est-il que, lorsque j'ouvrit le livre à la page sur les Hybrides, Pandalf pointa du doigt une image représentant un Hybride en rage guerrière. Il disait que c'était là exactement ce qu'il avait vu, en un peu plus réel. J'étais assez confus. Nous décidâmes alors de passer la nuit dans un petit village que nous avions vu. Cette fois-ci, je ne me fit pas avoir et je paya le montant exact. Pour moi, la nuit fut un peu agitée.

Au début, je ne pouvais dormir à cause des révélations que Pandalf m'avais faites, mais après un bout de temps, je m'endormi instantanément alors que deux secondes plus tôt je n'avais pas vraiment sommeil. Alors, je fut transporté par mes rêves dans un lieu assez sombre. Un autre type était là. Il avait des cornes de démons et des ailes d'anges. Lui, c'était un Eumi. Alors il se retourna et me dit:

-Bien, tu as réussi à passer ces murs. Aujourd'hui, tu t'es révélé à toi-même. Ça faisait longtemps que j'attendais ce jour. Quelques siècles environ. Grâce à toi, les Eumi vont en fin renaître.

J'allais essayer d'ouvrir la bouche, mais il m'arrêta et me dit:

-Chut! Personne ne doit savoir que je suis avec toi ici. Je peux répondres à toutes tes questions. Je suis Hubrus l'hybride divin, ou Saint-Hubrus. Ceci n'est pas un rêve. J'ai pu entrer en contact avec toi facilement parce que tu es et tu sais que tu es un Eumi. Je suis ici dans la prisons dans laquelle ces maudits Dieux m'ont enfermé.

Il vit alors ma confusion, il continua donc:

-Oh, je vois que j'ai omis le fait le plus important. Tu as la même attitude que moi lorsque j'ai appri que j'étais différent des autres. Tu es un Eumi. Cesse de te questionner, tu es un Eumi, un Hybride. C'est officiel. Tes parents étaient assez différents l'un de l'autre par leurs origines. Cette différence a été assez puissante pour te générer, toi. Je te rapelles que je ne suis pas ton subconscient mais bien un être divin à part qui te parle en se moment. Tu n'oubliera pas cette conversation. Aujourd'hui, ou pluôt hier, tu as eu ta première rage guerrière. La première est toujours la moins longue, une chance sinon tu n'aurais plus d'ami. Tu peux te fier sur lui, il est loin de vouloir te trahir. Je crois qu'il a un certain potentiel lui aussi. J'ai souvent parlé à DIEU ELFE et je crois que c'est celui qu'il a choisi. J'en ai dit plus qu'assez. Je te reparlerai de tout cela plus tard. Je finit par te dire que ta quête se continue par le temps.

Alors, je me senti propulsé et je me réveilla dans mon lit à côté de Pandalf. Il dormait encore et il faisait déjà jour. Je voyais le coq du village monter sur la clôture proche de notre fenêtre et j'au une idée «démoniaque». J'ouvrit la fenêtre et posa des graines que j'avais ramassées dans la forêt sur le roborde de notre fenêtre. Le coq s'approcha et picossa. Il du s'apercevoir entre deux picossements que le soleil était levé assezz haut. Il leva la tête et je me boucha les oreilles. Le résultat fut assez amusant. Pandalf avait littéralement sauté de son lit. J'étais dans me coin à me bidonner pendant qu'il se demandait ce qui avait arrivé. C'est alors qu'il me vit, moi et le coq. Il renversa les graines qui restaient sur moi et le coq me sauta dessu. Je le repoussa par de grands mouvements de bras et ferma la fenêtre. Lorsque je me retourna, Pandalf me regardait. Il y avait un moment de silence puis je pris la parole:

-Saint-Hubrus m'est apparu. Je suis un Hybride

-Attend un peu. De qui? de quoi?

-Saint-Hubrus, la divinité des Hybrides est venu me voir cette nuit, ou plutôt je suis allé le voir. Il m'a dit que j'étais un Hybride. Tu as sûrement entendu parler des visions. C'est ce qui m'est arrivé.

-Ah. Et tu croirais un rêve? Il n'y a aucune preuve de ce que tu avances.

-Tu disais pourtant exactement le contraire hier après que je te sois sauté dessu.

-Bon, nous mettrons ça au clair plus tard.

Il commença à ramasser ses choses lorsque je lui demanda:

-Au fait, c'est quoi la lumière sur ton front.

-Ah ça.

Il releva ses cheveux dorés et révéla le signe au complet. C'était bien un signe qui représentais les quatres royaumes elfes. Il continua:

-C'est un bandeau porte-bonheur, légué par mes parents. Il brille lorsque je m'apprête à faire une action qui pourraît me couter la vie.

Ça devait être pour ça qu'il est arrivé saint et sauf à Vitria. Je rajouta une dernière chose:

-Autre chose, Hubrus a dit que notre quête se continuerais par le temps. As-tu une bonne interprétation de ça?

-Attend un peu voir... Ah oui ça me renvien. Il y a un royaume Humain à quelques kilomètres d'ici où les dirigeants sont en fait des chevaliers aux pouvoirs particuliers. Le plus puissant d'entre eux et leur chef est le chevalier du temps. Je crois que ton Saint-Hubris veut qu'on se rende là-bas.

-Pourquoi pas, il n'y a rien à perdre...

Et sur ce, nous quittâmes ce petit village en direction de ce fameux royaume Humain. Qui sait ce qui pourrait nous attendre là-bas ou même sur la route?
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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyMer 14 Nov - 20:42

Chapitre 7
-------------------
Il est mort

Nous arrivâmes au royaume humain sans embuche particulière. Tout de même, à chaque fois que je croisait un humain, je me disais que je n'étais pas l'un d'eux, ce qui me rendait un peut bizzare. J'ai vécu toute me vie jusqu'au moment où Saint-Hubrus est venu me parler en croyant que j'étais humain. Il me semblait qu'en une nuit, je m'étais complètement changé. Même physiquement. Je trouvais que mes yeux étaient de couleur de plus en plus différente. mais bien sur, Pandalf me dit à chaque fois que je me fait du souci pour rien... à sa façon. Je trouvais sincèrement que je changeais, mais il me disait tout le temps que s'en était rien. C'était un choc pour moi de savoir que je ne suis pas de la même race que mes parents. Étai-ce vraiment possible? Je ne suis pas tout à fait sur, mais je verrai bien. Une fois arrivé au royaume, nous louâmes une petite chaumière, juste assez grande pour nous loger. Pandalf acheta de la nourriture et me prépara des plats elfiques qu'il conaîssait. Je voudrais bien en faire autant mais ce ne serait pas des plats de ma propre race. Ce qu'il prépara était assez bon. La journée sa passa assez bien. La nuit, lorsque j'allai pour m'endormir, une force me réveilla d'un coup. J'avais très chaud. Je commença à m'habituer à l'obscurité à un tel point que je voyais assez bien les couleurs. Ce n'était pas humain mais l'étais-je? Toujours est-il que lorsque je regarda dehors. Je vit deux yeux bleus foncés qui me dardaient. Ils me fixaient avec un assez grande intensité. Alors je m'assis. Je fixa ces yeux, si irréels étaient-ils. Au bout d'un moment, je remarqua une certaine forme autour de ces yeux. Alors, j'eu mal un peu à la tête pendant un moment, et je senti une remontée extraordinaire d'énergie. Auparavant, je fixais ces yeux avec questionnement, maintenant je les fixais avec une détermination quelquonque. Je pris même un regard offensif, supérieur. Alors, je vis les yeux qui commençaient à se brouiller. J'ouvris mes yeux d'un coup, et la chose translucide regarda ailleur, mine de rien. Je regarda ailleur un moment et, lorsque je retourna ma tête vers l'endroit où se trouvaient les yeux, ils avaient disparus. Lorsque je retourne à l'intérieur, je m'accrocha sur le haut de la porte alors que ma tête avait clairement passé dans la porte. J'avais des cornes. Pas des grosses, mais pas des petites. C'était sûrement mon côté démon. Alors, cette chose avait quelque chose à voir avec mon côté démon. Mais quoi? C'est la question que je me posa en m'endormant.

******************************************************************************************************

Le lendemain, Pandalf c'était levé bien avant moi. Lorsqu'il revint, j'avais déjà déjeuné. Alors, je parti voir un peu ce royaume et me familiariser avec les actualitées de celui-ci. Secrètement, je voulais en savoir plus sur l'apparition d'hier soir. Je fis quelques rues, vit quelques personnes et puis j'apperçu un militaire tourner un coin sur une grande allée. Il était suivi d'un attroupement incroyable de chevaliers portant différents blasons avec à sa tête certains chevaliers plus décorés que les autres. Au milieu de l'attroupement se trouvait un cerceuil immense avec un sablier dessiné dessus. J'étais assez étonné de voir cette scène à laquelle je ne comprenais absolument rien. J'interrogeai alors un civil et il m'expliqua que c'était là le cerceuil de Philippe, le chevalier du temps. À sa tête se trouvait d'autres chevaliers importants, nottament le chevalier du feu qui était le meilleur ami de Philippe. Le chevalier du temps aurait été tué par son apprenti, un dénommé Morox. Tout cela me semblait très étrange. Lorsque je revint à notre chaumière, je croisa Pandalf qui était essouflé. Il me dit:

-Ne me dit pas que je suis poursuivi. Surtout ne me dit pas ça.

-Si ça peux te rassurer, je te trouve en se moment idiot. Il n'y a pas un chat derrière toi.

Après cette dernière réplique, il afficha un air fier avant de répondre:

-Ah! Jamais ils ne pourront m'attrapper vivant!

Je lui demanda d'entrer, ce qu'il fit sur le champ. Je lui demanda de s'expliquer. Il me dit qu'il me raconterai toute son histoire. Ce n'était pas la peine d'insister, il n'allait pas répondre à ma question autrement. Je pris alors un verre d'eau et m'assis à la table pour l'écouter.
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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyMar 4 Déc - 20:14

Chapitre 8
---------------------
Le plan

L'odyssée de Pandalf dépassait largement la mienne. Premièrement, il fallait savoir que ses parents étaient les chefs de leur village. Lorsqu'il est né, Pandalf avait pleuré pour la première fois deux larmes noires dont le passage est encore marqué sur son visage. À cause de cela, son père le croyait maudit et le détestait donc beaucoup. Assez souvent, les parents de Pandalf se hurlaient dessus à propos de lui. Heureusement pour lui sa mère, poussée à l'aimer par l'instinct maternel, avait tout le temps le dernier mots. Malheureusement, lorsqu'il avait environ treize ans, son père lui ordonna de quitter la maison. Sa mère lui donna de la nourriture, un arc fabriqué en hâte et un cadeau d'une valeur inestimable qui traînait chez eux de génération en génération, un bandeau fait de pière précieuses représentant les quatres anciens royaumes elfes qui a le don de briller lorsque son porteur est sur le point de faire une action qui pourrait lui coûter la vie. Il a eu par la suite le malheur de se faire enlever par des marchands d'esclaves pour servir celui qui occupe la position la plus élevée dans ce qui est du commerce d'esclaves elfes. Cette race avait complètement été démolie par les humains et soumise presque entièrement à l'esclavage. Toujours est-il qu'après plusieurs tentatives de fuite, il tua son maître et se mit à dos ainsi son homme de main qui engagea tous les mercenaires possibles pour le tuer. Grâce à son superbe bandeau, il échappa à chacun d'entre eux. Seulement, celui qui était venu me voir était cet homme qui voulais se venger à tout prix de Pandalf. Donc moi aussi je l'avais à dos. Pas seulement ça, mais ceux qui lui courraient après étaient justement des hommes du commerce d'esclaves. Je pris alors une carte de la région qui traînait là et je vis que le plus grand centre de commerce d'esclaves se situait juste à l'extérieur de la cité. C'était clair dans ma tête, il fallait leur faire peur. Il fallait les attaquer. Mais attaquer qui? Les travailleurs innocents? Les marchands qui ne sont là que pour gagner du maigre pain? Non. Il falait attaquer les gros poissons. Le nouveau patron et son homme de main. J'aurais peut-être à tuer quelques mercenaires au passages mais j'éviterai. Il nous fallait un plan. J'en parla à Pandalf. Il aimait l'idée mais il était d'accord qu'il fallait un plan. J'essayai de contacter Saint-Hubrus durant la nuit pour avoir de ses conseils mais je n'ai eu aucune vision.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le lendemain, je me renseigna sur le marché d'esclaves. Je le vis de mes propres yeux et il était fait de façon assez étrange. C'était un bâtiment imposant avec les marchés au rez-de-chaussée. Il n'y avait aucune concurrence commerciale mais les différents magasins vendaient différent types d'esclaves. On pouvait compter les esclaves plus adapté à une vie dure de travaux difficiles et d'autres qui servaient de domestiques tout à fait ordinaires. Il y avait plusieurs cathégories. Il n'y avait pas tant de visiteurs que ça mais tout de même. J'ai pu retire à certains marchands que le patron se terrait dans la partie supérieure de la tour avec sa garde et son homme de main. Les poissons étaient donc tous dans le même étang. Chaque magasin avait sa section sous-terraine où était située les cachots des pauvres esclaves. Ils allaient donc devoir rester là. Nous allions nous attaquer seulement nous attaquer à la partie supérieure. Je me posa la question comment monter lorsque j'apperçu un petit escalier dissimulé entre deux magasins. J'avais tous les informations nécessaires. Lorsque je revint, j'avais dans les mains quelques croquis de l'organisation des étages, bien sûr pas très dévelloppé, mais assez pour organiser notre attaque. J'avais aussi une plume, un peu d'encre et du papier pour expliquer à Pandalf visuellement ce que nous allions faire dans les détails. De son côté, il avait utilisé les trois pièces d'or que je lui avait données pour s'acheter des flèches dignes de ce nom. Jusqu'à maintenant il avait utilisé des espèces de pieux pouvant être utilisés sur un arc mais maintenant il avait des véritables flèches avec une pointe en métal. Il avait pu remplir son carquois. Je lui expliqua mon plan: nous allons nous promener tout bonnement. Si quelqu'un nous approche, nous lui dirions que nous étions des mercenaires fraîchement engagés, ce qui nous donnera une excuse non seulement pour trimbaler des armes mais aussi pour se rendre à l'étage supérieur. Une fois rendu, nous allons essayer de durer le plus longtemps possible avec notre alibi et surtout de se rendre le plus proche possible du patron et du type qu'on veut égorger. C'est alors que je dit à Pandalf:

-dis-moi, qu'es-ce que ce personnage t'a tant fait pour que tu veuille le zigouyer? Il t'a promis de te tuer comme à moi mais à part de ça...

-Il a massacré impunément des dizaines d'elfes. Il faut que je les venge.

Je n'aurais jamais cru cela. Bon, c'était des marchands d'esclaves, il ne traitaient pas nécessairement bien leur marchandise mais tout de même. Les tuer serait une perte. Ils perdent de l'argent qu'ils auraient pu faire avec la vente de ceux-ci alors pourquoi faire?

-Tu les venges compris? Je me charge de faire peur à l'autre gars.

-Entendu.

Et nous passâmes le reste de la soirée à nous occuper avec nos armes chacun de notre bord. Si je joue bien mes cartes, je pourrais ne pas souiller mon épée mais rien n'est impossible.
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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyLun 10 Déc - 21:29

Chapitre 9
---------------------
L'attaque

J'étais assez anxieux. Tellement anxieux que je m'étais levé plusieurs heures avant Pandalf et le soleil. Une fois tous deux réveillés et regallardis, nous enfilâmes nos armes et une armure de cuir légère que j'avais achetée l'autre jour. Ce n'était pas grand chose mais nous avions au moins l'air d'être protégés. Il mit sont carquois sur son épaule et je mis mon fourreau à ma ceinture. Nous sortâmes de notre petite maison et nous dirigeâmes vers l'extérieur du royaume. Assez tôt, le grand marché et le centre d'opération des marchands d'elfes esclaves était en vue. Une fois dans le marché, personne ne posa aucune question. Ce n'est que lorsque nous essayâmes de monter l'escalier que les choses se gâtèrent. Il y avait un garde planqué devant, du moins sur le côté. Il était situé dans une sorte de cabine qu'on ne pouvait appercevoir sans s'y aventurer. Une chance, il avait l'air un peu idiot et il goba parfaitement notre alibi. Une fois en haut, je vis l'homme de main assis sur le grand siège et le chef assis sur une misérable chaise à côté. Tout cela n'avais ni queue ni tête. Il me semblait que le chef devrait être assis sur la grande et belle chaise devant le bureau spacieux, alors que l'homme de main devait s'asseoir sur une petite chaise devant un petit bureau. Pas l'inverse! Une chance, nous avons pu les étudier un peu car ils étaient en train de faire quelque chose. Sûrement reviser leurs profits pour être sur de ne pas s'être fait volé par personne et qu'aucun esclave ne s'était échappé. Après une ou deux minutes, l'homme de main daigna enfin nous regarder. Pandalf tourna la tête, mais moi je le regardais tout droit dans les yeux. Il s'extirpa de mon contact visuel en levant la tête et nous adressa la parole:

-Puis-je savoir qui êtes-vous et quelles sont vos intentions?

-Nous sommes de simples mercenaires venus ici pour trouver un peu de travail. On nous a dit qu'on voulais de nous ici. J'espère que ça rapporte beaucoup.

-Je vois, je vois...

Il me regarda. J'ai cru voir une lueur dans ces yeux indiquants qu'il se souvenait m'avoir vu, mais pas dans quelles condition. J'essaya de me rapprocher de lui tant qu'il ne pouvait me replacer. Tôt ou tard, il fallait dégainer l'épée. Lorsque je jeta un coups d'oeil à Pandalf, il avait la tête tournée vers la gauche. Je vis dépasser la pointe de son oreille. Je commença à paniquer. L'homme ne semblait pas avoir apperçu l'oreille de Pandalf, ce qui me rassurait mais il avait décidément avancé dans ses recherches. Il se grattait maintenant le menton pour rétablir ses souvenirs. Je fis un pas, deux, trois et...

-EH TOI!

Le chef avait parlé en direction de Pandalf. Je l'avais complètement oublié celui-là. Je mis la main sur le pommeau de mon épée. Le chef continua.

-Tu m'as l'air étrange. Tu as des cheveux d'or. Regarde moi dans les yeux...

Il était décidément trop simplet pour tout simplement appercevoir ses oreilles. Finalement, nous n'allions pas trop devoir être désyncronisés puisque mon homme se leva d'un bond et me regarda fixement dans les yeux. Je soutena son regard mais ce dernier devenait de plus en plus intense. Je saisit le pommeau de mon épée. Je ne savais pas ce que faisait Pandalf mais au son qu'il produisait il avait pris son arc dans ses mains. Alors l'homme de main et le chef parlèrent l'un après l'autre:

-Tu est un elfe! Es-tu échappé? Es-tu libre?

-Toi! Toi! Je te reconnais! J'avais promis de te tuer si tu ne tuais pas Pandalf. Je suppose que c'est lui qui est derrière toi! Que c'est touchant. Le prédateur qui adopte sa proie. Prépare toi à mourrir jeune inconscient!

Sur ce, il leva les bras dans les airs et ses ongles commencèrent à luire. Le chef lui était alla se cacher dès que Pandalf arma son arc. Il fut vite remplacé par le garde d'en-bas qui avait sorti son épée. Je dégaina mon épée. Elle semblait assez légerte. Je me sentit emporter par la rage. Il ne fallait pas que j'entre en rage guerrière sinon je pourrais tuer Pandalf. D'un autre côté, la rage guerrière me donnait un net avantage face à mes ennemis et aucun remords. Je ne pouvais risquer de tuer Pandalf. Je pus heureusement résister à la rage. Il fallait que je mène se combat par moi-même. J'étais contre un mage. Pas trop puissant je suppose mais assez puissant pour me tuer. Il était capable de léviter des objets et de me les lancer. Il décida de faire léviter les pières clandestines qui se trouvaient au sol. Il me lança quelques pières. J'en para une ou deux mais je du me prendre le reste dans la tronche. Je décida de porter un coup au garde qui était rendu à côté de moi. Son armure n'était pas très dure, son thorax était scié en deux. Il s'effondra sur le sol. Je regarda mon épée, finalement souillée. Je croyais que ça n'arriverai jamais. Juste le temps d'appercevoir le mage qui allait me lancer un couteau tout droit dans la tête avec sa magie, j'apperçu un éclair et puis une flèche propulsée vers lui. Il eu le temps le lancer le couteau mais il était dévié de sa trajectoire. Il me rentra dans l'épaule. Le mage esquiva la flèche de Pandalf qui s'enfonça dans le mur. Le mage délogea la flèche rapidement et fit un geste comme s'il tenait un arc. Pendant ce temps, j'avais retiré le couteau de mon épaule. Le mage décocha la flèche que je bloqua avec mon couteau. L'étrange luminosité de la flèche passa au couteau, que je planta dans la tête du mage avec un bon prodigieux. Le couteau de s'enfonça pas, mais il resta sur sa tête, la pointe entamant un peu son épiderme. Il s'enfonça graduellement et au bout d'un moment la moitié s'était enfoncé et le corps du mage tomba. Je repris mon épée. Mon épaule était presque guérie. Pandalf avait l'air complètement tétanisé par les évènements. Moi aussi j'étais surpris de la tournure des choses mais je crois que ceux de ma race ne sont pas affecté par la surprise lors du combat. Au bout d'un moment, le corps se transforma en poussière et une forme quelquonque apparut. J'entendis alors dans ma tête une voix grave et peu rassurante:

-J'admire votre style. Ce corps était malheureusement très peu puissant. Dommage, il offrait une si bonne couverture. Je le savais bien que toi," il s'approcha de Pandalf, "toi, Pandalf, tu étais celui qui allait les ramener à la gloire. J'ai tué tous les elfes dorés, mais j'étais presque sûr que c'était toi. Tu t'est échappé. J'ai du faire appel à tous les mercenaires possibles mais tu étais trop futé.

-En parlant de mercenaire" dis-je, "Qu'ai-je à voir là dedans?

-Toi? Tu est minable. Certes, tu es un Eumis, un des rares Eumis nés de parents humains mais ton ami elfe est chanceux que tu ne l'aie pas su avant que je te demande de le tuer. Tu l'aurais fait sans pitié. Vous êtes comme ça vous. Les Eumis tuent n'importe quelle race à n'importe quelle occasion, juste pour voir du sang couler. Tout ce qu'ils respectent c'est leur race misérable, vouée à la destruction. Comme tous les Eumis de ton époque, Hubrus aura beau te voir de temps en temps, tu ne devinera jamais ton véritable but et tu disparaître après certains exploits héroïques certes, mais tu disparaitra et Hubrus pourra attendre une autre génération pour espérer en vain de se faire adorer, car comme tous les autre Eumis ce grand nigaud n'a du coeur que pour lui-même. C'était élémentaire que les Dieux le punissent. Adieux, Pandalf et Minibrus...

Sur ce il disparu, et je ne peux m'empêcher de dire:

-Mon nom n'est pas Minibrus, c'est Jace! La prochaine fois je te transperce espèce de malotru!

Lorsque nous descendâmes l'escalier, nous avions droit à une surprise. Toute l'armée ou presque était là. Inutile de dire que la nuit se passa sur une couchette en paille peux moelleuse dans une nouvelle maison avec une fenêtre à barreaux.
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MessageSujet: Re: Histoire de FAC (point de vue de Jeje)   Histoire de FAC (point de vue de Jeje) EmptyMer 4 Sep - 10:47

Chapitre 10 - l'évasion

Pandalf faisait les cents pas. J’imagine ce qui trottait dans sa tête. Pourquoi son Bandeau de l’avait-il pas averti des évènements à venir? Je n’avais pas la solution à son questionnement, qui était pour moi très peu prioritaire. J’avais moi-même de mon côté quelques, que dis-je, une montagne de questions. Notre séjour à la prison locale avait comme avantage qu’il nous donnait un moment de repos, aussi étrange que cela puisse paraître. Donc, les questions.

Un, comment se fait-il que je me suis pris un couteau dans l’épaule et que, une fois retiré, il n’a laissé aucune trace, si ce n’est qu’une sensation aigüe de douleur qui n’as pourtant pas affecté ma façon de penser puisque j’ai, deux, réussi à réagir sans y penser à me propulser sur une distance de trois mètres pour ficher le même couteau, trois, d’une certaine façon ayant acquierri des pouvoirs magiques et que, quatre, il soit entré petit à petit comme dans du goudron sur le front de notre agresseur et que, cinq, le corps de sa victime soit réduit en cendre pour laisser place à, six, une ombre sombre qui avait une voix, et qui en passant n’utilisait pas superbement ce don. Cette chose m’avait tout de même traité de chien de poche!

Je me dis que les Eumis avaient sûrement quelques dons particuliers comme une régénération extra rapide et une concentration guerrière plutôt bonne, ce qui régla la première et la deuxième question. Je laissai tomber la troisième question puisque c’était du domaine de Pandalf, ce qui me laissait avec trois autres questions auxquelles ni l’une ni l’autre de nos personnes ne pouvaient répondre puisqu’elles relevaient du domaine de cet étrange nuage noir. Alors que je me demandais si j’en avais déjà entendu parler, Pandalf, d’un geste fort et déterminé arracha son bandeau et le regarda avant de crier :

- Alors, tu sais ce que je vais faire j’imagine! Dis-moi que c’est mal!»

Aucune réaction de la part du bandeau. Enragé, Pandalf fracassa le bandeau contre le mur. Le joyau éclata en mille morceaux. J’étais sidéré. Il venait de détruire le seul héritage de ses parents, et ce sans aucune hésitation. Sur ce, il s’assit à côté de moi, sa tête dans ses mains à sangloter.

************************************

La nuit ne m’apporta aucun sommeil. Il faut dire que ce n’était pas très confortable. En soirée, notre jugement avait été déposé ainsi que notre sentence. Coupable du meurtre d’un homme de loi, condamné à la peine de mort. Génial. Je me demandais comment sortir d’ici en regardant à travers les barreaux lorsque je revis l’ombre que j’avais vu il y a deux nuits. La différence était que cette fois-ci, l’espèce de gaz qui la composait semblait prendre une forme plus humaine. J’entendis une voix dans ma tête :

- Je leur avais pourtant dit de remplacer ces barreaux. Regardez-les, ils se détériorent tous seuls! Lamentable.»

Puis l’ombre s’en alla. Très intéressant. Je réveillai Pandalf et lui expliqua la situation. Il avait plutôt content d’apprendre qu’il y avait une voie de sortie mais moins d’apprendre qu’il devait me faire la courte échelle. Je pesais au moins deux fois son poids et il n’avait définitivement pas la force de me soulever. J’ai donc dû monter sur son dos comme sur une marche d’escalier et ignorer ses plaintes. Peu importe d’où venait la voix, elle avait raison. La pierre autour des barreaux était fissurée, sûrement par des prisonniers se plaignant de leur sort inévitable. Une fois mes mains sur les barreaux, j’accotai mes pieds au mur de façon à ce que je n’ai plus besoin de support au grand plaisir de Pandalf. J’avais ma stratégie. Il fallait que je tire les barreaux avec mes mains et que je me pousse avec mes pieds en même temps. J’essayai un coup. Pas grand-chose ne changea. Un deuxième coup. Quelques grains se détachèrent. Au troisième coup, un gros morceau du plafond se détacha, me ratant de très peu. Sentant que ce serait la bonne je mis toute ma force dans le quatrième coup. Après une ou deux secondes, j’entendis des craquements et je fus projeté par ma propre force contre le mur opposé de la cellule et tomba face contre terre. Après m’être relevé, je brandis les barreaux retenus ensembles par un bout de roche en signe de victoire. Je posai les barreaux sur la paille comme si je rangeais quelque chose d’important et regardai ce que j’avais fait. Un trou amplement large pour qu’un homme puisse y passé avait été créé. Alors que nous célébrions mentalement cette victoire, Le plafond grinça un moment et s’abaissa d’environ vingt centimètres, réduisant le trou à une fente et le nombre de portes de sorties possible à zéro.

- Pandalf, je crois que tu aurais dû garder ton bandeau finalement…»dis-je.

J’étais désespéré. J’avais essayé de briser les barreaux de la porte la veille mais rien n’y faisait, ils étaient très solides. Je me baissai et pris le morceau de mur que j’avais enlevé en réfléchissant à une solution logique. Je n’avais presque plus de solutions.

**************************

Alors que tout semblait perdu, que l’aube se dessinait, je pris les barreaux et les lancèrent contre la porte dans un geste de rage. Lors de l’impact, la roche, apparemment très friable, libéra les barreaux qui tombèrent au sol avec une sonorité assez puissante pour réveiller Pandalf.

- Tu as trouvé une solution?» demanda-t-il.

- Non.» répondis-je l’air plus désespéré que jamais.

Je tournai la tête vers la porte de notre cellule, qui me donnait maintenant le gout de fuir, excepté que je ne pouvais pas fuir. Sans détourner le regard de cette porte je dis en semi-monologue :

- Dans quelques heures, ils vont arriver par cette porte et… hé!»

- Et…?» répondit Pandalf

Je m’étais interrompis car j’avais remarqué quelque chose sur la porte. Une trace blanche. Une rayure, faite apparemment par les barreaux. Pour en être certain, je pris ces derniers et donna un bon coup sur la porte. Une bosse apparut mais plus intéressant encore, une grosse rayure blanche s’était dessinée sur la porte. Je regardai les barreaux, ils étaient en parfait état.

- Hé Pandalf!»dis-je

- Quoi encore» répondit-il

- Je sais que tu n’as pas vraiment eu de chance dans ta vie, comparé à moi, et je te prends en pitié. Je vais t’enseigner quelques petites choses utiles par exemple» Je me tournai vers la porte et pointa vers la marque blanche. «Tu vois cette marque? On appelle ça une rayure, et lorsqu’un métal peut rayer un autre métal…»

Je pris un élan et asséna de toutes mes forces les barreaux sur la porte. Les gonds se disloquèrent  sur impact, ouvrant la porte de un ou deux centimètres.

- …il peut le briser» finis-je

Je donnai un coup de pied dans la porte qui s’ouvrit assez pour nous laisser passer.

- Je n’ai rien compris mais je t’assure, tu vaux au moins cinq bandeaux» répondit Pandalf.
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